"Qui n'a rien d'alarmant." — Le brouillon que nous avons sous les yeux porte la rédaction primitive suivante : « qui, si elle est pénible et même douloureuse, n'a rien de très inquiétant. Un trait à l'encre rouge biffa cette phrase et la remplace par : qui n'a rien d'alarmant »
Extrait de "Compiègne pendant la guerre" de J.R. Lefèvre