C’est un hôpital de la Croix Rouge qui dépend de la Société de Secours aux Blessés Militaires. Les sœurs de Cluny qui l’occupaient ont été expulsées lors de la mise en œuvre de la laïcisation de l’enseignement et une pension pour jeunes filles s’y est installée. Hilarion Ligouzat la décrit comme « construite à la limite sud de la ville et dans de bonnes conditions hygiéniques ». Elle offre 50 lits. Le personnel des médecins et des infirmiers est choisi par la société. Cet hôpital traitait surtout des malades et blessés, y compris des allemands pendant et après l’occupation de la ville.