Je dois de particuliers remerciements aux personnes qui s'intéressèrent à ce travail et voulurent bien remémorer pour moi leurs souvenirs, en même temps qu'elles me communiquaient les pièces importantes de leurs collections particulières.
J'ai trouvé de tous côtés de précieux encouragements et je fus documenté par mes Collègues de la Société Historique et par ceux qui, à des titres divers, ont joué un rôle dans notre cité: officiers, médecins, édiles, fonctionnaires, infirmières, simples particuliers.
Grâce à l'efficace entremise de M. Gabriel Trouvé, Secrétaire Général, j'obtins l'autorisation de prendre connaissance des Archives Municipales; je fus de nombreuses fois l'hôte de la sous-préfecture où M. Decosse, me guidant de ses conseils, favorisa beaucoup mon entreprise. M. l'Archiprêtre Humbert me permit de puiser de nombreux renseignements consignés dans son « Bourdon de Saint-Jacques ».
Le Maître Robida m'autorisa à reproduire ses belles eaux-fortes, tandis que l'aimable photographe E. Hutin m'ouvrait la mine inépuisable de ses clichés de guerre pour orner mon récit d'une illustration parfaite.
Enfin, se souvenant des heures graves passées en commun, en 1917, au Bureau de la Place, sous le règne du colonel Féraud-Giraud, puis du colonel Romazzoti. M. Louis Deguingue se mit à ma disposition pour le repérage des points de chute, après avoir dressé le plan détaillé qui termine ce volume.

J.-Robert Lefèvre